Note
Le cyclisme est un sport qui met à rude épreuve les corps et la machine. Albert Londres, suiveur du Tour de France, expose la difficulté du cyclisme et publie un reportage sur Les forçats de la route. Conditions climatiques extrêmes, chutes ou crevaisons, les incidents sont fréquents sur les routes du Tour. Avant 1956 et l’introduction des voitures suiveuses des équipes sur la course, ces incidents mécaniques étaient directement réparés si possible. En 1948, il n’est donc pas étonnant de voir l’hebdomadaire sportif But et Club rendre compte des galères d’Apo Lazaridès qui « joue vraiment de malchance » dans la descente de l’Izoard. À cette époque, les routes sont régulièrement en mauvais état et les coureurs doivent changer eux-mêmes leurs boyaux.
Lieu
Le col de l’Izoard